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Alice Gray
J’ai été touchée en 2019 par un cancer rare du péritoine à l’âge de 30 ans. Ça n’arrive pas qu’aux autres, je l’ai bien réalisé, mais surtout ce n’est pas une fatalité ! En lançant la création du site Le Crabe, j’espère que nous parviendrons à véhiculer un message bienveillant et optimiste sur cette maladie qui nous touche tous, de près ou de loin.
Clémence de Blasi
Il y a quelques années, l’une de mes amies a été diagnostiquée d’un cancer. La nouvelle m’a fait l’effet d’un tremblement de terre. Avant cela, cette maladie, je croyais la connaître un peu – deux de mes grands-parents en sont décédés. Mais ce n’est qu’à la lumière de cet épisode récent que je l’ai vraiment découverte. Depuis, j’ai envie d’en parler; de la comprendre et d’informer. C’est aussi mon métier : je suis journaliste, à Lille !
Flavie Legrain
Née dans le Nord puis élevée au milieu des champs de betteraves picards, j’ai retrouvé mes racines en m’installant à Lille pour mes études. J’ai un penchant pour les langues, les sciences humaines et la géopolitique. Le Crabe, pour moi, c’est une belle occasion de transmettre les histoires de ceux qui sont touchés par le cancer, de ceux qui se mobilisent pour les aider et de bien d’autres, à qui je souhaite donner la parole.
Chloé Becqwort
Je suis passionnée par le sport, la danse, les livres, la guitare, et des tas d’autres choses. Le cancer peut tous nous toucher, de près ou de loin, sans qu’on comprenne vraiment pourquoi ou comment. Le Crabe me permet d’en apprendre davantage sur ce sujet et de partager ces connaissances, pour qu’on soit tous un peu moins seul face au cancer.
Jean-Baptiste Pouillot
Originaire de Belfort, j’ai quitté ma ville natale après le Bac pour atterir à Lille. Après avoir obtenu ma licence de sociologie, je suis parti avec mon meilleur ami en Australie, une expérience inoubliable. Fan incondionnel du ballon rond et de rap français, j’ai beaucoup d’intérêt pour les thématiques liées au sport et à la culture. Le Crabe a une résonnance personnelle particulière et me donne l’opportunité d’informer et d’écrire sur des sujets très importants à mes yeux.
Corentin Paillassard
@Corentin_Pail Originaire de l’île de La Réunion et titulaire d’un master 2 en énergies renouvelables, j’ai décidé de quitter le monde de la recherche pour me consacrer à la diffusion de la connaissance scientifique plutôt qu’à sa production. J’ai souhaité participer à ce projet pour en apprendre plus et pour essayer de faire quelque chose d’original sur un sujet sensible.
Lucie Hoarau
Née sous les Tropiques, j’ai quitté l’île de La Réunion pour poursuivre mes études supérieures. Passionnée par le violon-alto et la géopolitique du Moyen-Orient, Le Crabe est pour moi une opportunité de toucher au côté plus scientifique du journalisme. Au-delà d’en apprendre moi-même plus sur cette maladie, cela me tient à coeur de démocratiser la question encore trop taboue du cancer dans notre société.
Julien Baudot
Joueur de football le dimanche et critique sportif au bar PMU la semaine, j’ai mis mes convictions de côté pour la bonne cause. Si la santé ne m’est pas un secteur de prédilection, contribuer au soutien de victimes de cancer m’est essentiel.
Manon Touchard
Originaire de Paris, après un master en économie internationale j’ai décidé de quitter la capitale pour trouver un nouveau souffle et me former au journalisme, avec pour intention de trouver de nouvelles perspectives de travail et des projets plus en accord avec mes valeurs et mes envies. Dans cette dynamique j’ai décidé de particper au site Le Crabe, un projet engagé et novateur, partagé avec de nombreux étudiants talentueux et touchant à un sujet qui me tient tout partiulièrement à coeur.
Maylis Dudouet
Ancienne adepte du RER C parisien, une licence d’anglais sous le coude et des yeux qui brillent pour le journalisme d’investigation. Mélomane à mes heures perdues et fervente amatrice de contenus scientifiques. Écrire pour le Crabe, c’est trouver les mots là où les voix flanchent, faire entendre les chercheurs comme les concernés en lutte avec leur cancer.
Raphaëlle Nowé
Normande pure souche et désormais Lilloise d’adoption, je suis passionnée de podcasts et de théâtre, curieuse et touche-à-tout. Le Crabe est un moyen pour moi d’en apprendre plus sur le cancer, donc on parle encore trop peu dans les médias traditionnels, et de donner la parole à ceux qui en sont touchés, de près ou de loin.
Lucie Remer
Armée d’un malheureux bac scientifique et d’une licence de science politique, tout juste revenue du pays du matin calme pour mieux me noyer dans les concours de journalisme, j’ai souhaité m’engager auprès d’une thématique qui me tient à cœur mais dont j’ignore tout : le cancer. En participant à l’aventure du Crabe, j’espère en apprendre davantage et combler un cruel manque d’information sur le sujet.
Selim Oumeddour
L’un de mes proches a été atteint d’un cancer. Face à cette nouvelle, je me suis retrouvé complètement perdu. Étudiant en journalisme, cette situation m’a donné envie de mieux comprendre et d’en parler afin de lever un tabou. Avec le Crabe, j’espère permettre à d’autres de mieux appréhender cette maladie dont on parle peu et qui peut tous nous toucher.
Mathilde Leconte
Originaire de Rouen et passionnée par la musique et la culture britannique, je m’intéresse particulièrement à la géopolitique. Le Crabe représente pour moi l’opportunité d’aborder un sujet avant tout humain mais aussi la possibilité d’acquérir davantage d’expérience en journalisme. C’est un projet altruiste qui permettra de combler le manque d’information autour du thème du cancer.
Emma Guizot
Corse d’origine et lilloise dans le coeur, j’ai passé un an en Lituanie pour valider une licence de science politique. Passionnée de photographie et de vidéo, j’espère pouvoir apporter au Crabe une approche audiovisuelle et instructive sur le cancer, sujet insuffisamment traité selon moi.
Sascha Garcia
Elevé.e dans une cuve de pollution connue sous le nom de vallée de l’Arve, parti.e étudier à Lille et en Espagne, je reste dévoué.e à la Yaute et à mes montagnes. Du rap français à Pokémon en passant par les conflits géopolitiques, mes champs d’intérêts sont infinis. Lorsque j’ai eu vent de la création du Crabe, j’ai sauté sur l’occasion. C’est pour moi, une manière d’aborder des sujets aussi scientifiques qu’humains, lever un tabou, sensibiliser et donner la parole à ceux touchés de près ou de loin par la maladie.
Benjamin Abgrall
Lillois depuis mes plus jeunes années, je m’épanouis dans la capitale des Flandres à travers mes hobbies : le sport et l’histoire. Le Crabe me permet donc d’en apprendre plus sur un sujet qui m’est assez inconnu.
Léonie Castelain
Je suis revenue vivre dans le Nord après de nombreuses années passées dans la campagne picarde. Je suis passionnée par ma région et globalement par tout ce qui m’entoure. Hyperactive et plutôt sensible, j’aime savoir que ce je fais à un sens pour moi ou pour les autres. J’aime écouter les histoires de chacun. Le Crabe est le moyen pour moi de lever le voile sur une maladie présente dans la vie de tous mais dont on parle trop peu.
Léa Carré
Insatiable d’apprendre, j’assume des goûts de sexagénaire qui passe ses dimanches entre tricot et brocantes. Pourtant mes 20 ans et mon hyperactivité sont aussi la force qui me pousse sur le terrain. Férue de culture et de rédaction, j’ai la chance d’être bien entourée et souhaite faire partager mes découvertes. Le Crabe, c’est l’occasion de passer de témoin à active dans ce projet qui veut éclairer le sujet encore trop trouble et troublant du cancer – qui touche ma mère, mais peut – et se doit pour moi de concerner chacun de nous.
Elise Gallé-Tessonneau
Bordelaise d’origine, je navigue aujourd’hui entre Lille, les Etats-Unis et l’Espagne. Entreprenante et spontanée, je souhaite m’épanouir dans le journalisme pour y transmettre ma passion pour les relations internationales Pourtant, j’éprouve une curiosité pour la médecine depuis toujours. Le Crabe me permet de développer ce champ d’intérêt tout en abordant une cause importante. C’est un média qui me fait me sentir utile.
Isabelle Veloso Vieira
Lilloise depuis maintenant trois ans, je viens à l’origine de la région parisienne. Le cancer, j’en ai souvent entendu parler. Comme la majorité d’entre nous, certains membres de ma famille sont décédés des suites d’un cancer. Pourtant, je n’y connais finalement pas grand-chose. Le Crabe est, pour moi, l’occasion d’y remédier et de participer à la levée du tabou sur le cancer.
Gabin Bocquet
Né dans la Somme, j’ai grandi grâce au violon et au scoutisme, deux domaines qui m’ont appris à m’exprimer, à toujours donner le meilleur de moi-même et à me rendre utile : c’est pourquoi je souhaite mettre ces qualités et compétences journalistiques au service de belles causes comme le cancer. De nature optimiste, j’aimerais améliorer l’image que en avons, à travers les remèdes de la culture, de la littérature et de la musique. Péchés mignons : Les Petits Mouchoirs et la croziflette.
Maxime Laurent
Nordiste affirmé, j’aime écrire sur ce qui me passionne, mais surtout apprendre sur ce que je ne connais pas ! Le Crabe est donc un formidable moyen d’en apprendre plus sur la thématique du cancer, et de diffuser des contenus à propos de cette maladie, souvent tabou, au plus grand nombre.
Lucie Lascot
Les théâtres lillois sont ma deuxième maison, l’opéra ma troisième. Ma première, c’est le sud, que j’ai quitté pour poursuivre mes études à Lille. Quand je ne suis pas spectatrice, j’écris pour le Crabe, un média qui permet de faire entendre les voix des personnes concernées par le cancer, celles qui luttent, celles qui recherchent. Pour que ces articles apportent des réponses, des informations ou de l’espoir à ceux qui en cherchent.
Perrine Roguet
Tourangelle de naissance et lilloise de coeur, je suis journaliste touche-à-tout. De la chronique judiciaire pour la presse écrite aux reportages pour la radio, en passant par l’encadrement d’étudiants. Parmi les missions qui animent mon quotidien, j’ai la chance d’accompagner les rédactrices et rédacteurs du Crabe. Un projet qui a du sens et pour lequel ils et elles font un travail incroyable !
Flavie Kazmierczak
Savoyarde descendue des montagnes pour découvrir le monde. Avec un penchant pour la vidéo, je veux mettre en images des thématiques trop souvent mises de côté. Participer au Crabe est une belle occasion de partager les histoires de ceux qui sont touchés par le cancer, de près ou de loin.
Elsa Rancel
Originaire du Gard, je me passionne pour le journalisme local et ses histoires. Avec ma licence langues scandinaves en poche, j’affectionne aussi ce qui touche au pays de mon cœur : la Suède. Le journalisme, c’est ce qui m’a permis de mieux comprendre le cancer, d’en abolir les idées reçues et taboues. Alors, écrire pour le Crabe, c’est pour moi l’occasion de donner la parole à celles et ceux touchés par cette maladie. Il faut raconter les belles histoires, et briser cette solitude : vous n’êtes pas seul !
Elisa Courcol
J’ai intégré le Crabe dans l’optique de pouvoir garder un pied dans la pratique journalistique pendant mes études. Il m’a permis de rentrer dans l’univers du cancer que je connaissais trop peu. Mais au-delà des connaissances, cette expérience me permet de faire ce que j’aime le plus dans le journalisme : raconter les histoires extraordinaires.
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